Kent u nog “Compère Guilleri” of “Malbrough s’en va-t’en guerre” ?
La critique du livre-disque de "Comptines" par Michel Dutrieue sur le site Stretto.
La critique du livre-disque de "Comptines" par Michel Dutrieue sur le site Stretto.
Le Music Factory "Game Over" vu par Benjamin Hermann dans L'Avenir.
Sur le site Jeuxvideobel.be, Robert Coheur décrit l'origine du Music Factory "GAME OVER".
Le nouveau CD Jongen de l'OPRL, chroniqué par Adèle Querinjean dans CULTURE, le magazine culturel de l'Université de Liège.
RTC Télé-Liège évoque le concert de l'OPRL avec Jane Birkin à La Hulpe.
Violoniste de 17 ans, Nadia Ettinger étudie aux Conservatoires de Luxembourg et de Liège. Depuis l’âge de 12 ans, elle se produit avec différents orchestres.
Jeune harpiste de 16 ans inscrite à l'IMEP de Namur en tant que Jeune Talent, Chanel a été la vedette de l'émission "Prodiges".
Le programme de la séance "Game Over" révélé...
L’édition 2017 est 100% féminine et convie le violon, la harpe, le saxophone et le chant. Sans oublier Sofia Gantois, Prix de l'ORchestre 2016. Une après-midi festive et gratuite !
En juin, l'OPRL est "L'orchestre du mois" sur la chaîne MEZZO LIVE HD. Deux concerts inédits à découvrir en exclusivité !
Violoniste de 17 ans, Nadia Ettinger étudie aux Conservatoires de Luxembourg et de Liège. Depuis l’âge de 12 ans, elle se produit en soliste avec différents orchestres.
Jeune harpiste de seize ans inscrite à l'IMEP de Namur en tant que Jeune Talent, Chanel a été la vedette de l'émission "Prodiges". Elle a remporté aussi plusieurs concours nationaux et internationaux.
Étudiante depuis 2012, au Conservatoire Royal de Mons (Arts²), dans la classe de Thierry Migliorini, Élisabeth Latora est actuellement en Master 2. Elle s’est produite en Belgique, en France et en Suisse pour Foliamusica, Les Talents Associés et le Festival de Verbier.
Né en 1972, Patrick Heselmans est diplômé du Conservatoire Royal de Liège (Diplôme Supérieur de musique de chambre en 1996, Diplôme Supérieur d’alto en 1997). En 1998, il entre à l’OPRL comme « tuttiste » (second soliste dès 2002, tuttiste dès 2019). Passionné par la musique de chambre, il fait partie de diverses formations à cordes allant du trio à l’orchestre de chambre (son répertoire comprend de nombreux quatuors et quintettes avec piano). En février 2001, lors du « Week-end Mozart » de l’OPRL, il interprète la Symphonie concertante pour violon, alto et orchestre aux côtés d’Augustin Dumay.
Né en 1978, formé au Conservatoire de Nice et au Conservatoire Supérieur de Lyon, Sébastien Guedj a joué dans de nombreux orchestres en France, à Monaco et au Grand-Duché de Luxembourg, côtoyant des chefs comme Myung-Whun Chung, Kurt Masur, Peter Eötvös, Semyon Bychkov, Emmanuel Krivine, Daniele Gatti… Hautbois 1er soliste de l’OPRL depuis 2006, il participe à de nombreuses formations, notamment le Bacchus Quartet, ensemble original où se mêlent musique classique, emprunts au jazz et chansons françaises. Depuis 2015, il est invité au Festival « Musique et Vin » du Clos Vougeot à Beaune, aux côtés de musiciens de premier plan. Il est professeur de hautbois au Conservatoire de Liège depuis 2016 et à l’Académie Grétry depuis 2022.
Brannon Cho a étudié avec Hans Jensen, Frans Helmerson, Clive Greensmith, Wei Yu, et Ralph Kirshbaum dans des académies aussi prestigieuses que le Heifetz Institute of Music, la Menuhin Festival Gstaad Academy, la Verbier Festival Academy et la Kronberg Academy Chamber Music Connects the World. Il s’est distingué dans plusieurs concours, en obtenant notamment le Deuxième Prix au Concours International de Naumburg en 2015, le Troisième Prix au Concours International Gaspar Cassado en 2013, le Grand Prix à l’ASTA National Solo Competition 2012, et le Premier Prix à la Johansen International Cello Competition la même année. Il a déjà collaboré avec des musiciens tels que Joshua Bell, Gidon Kremer ou encore Christian Tetzlaff. Brannon Cho a fait ses débuts au Carnegie Hall de New York en 2015 et s’est produit sur les scènes de New York, Miami, Washington, Chicago, mais aussi Londres et Tokyo.
Instrument : Antonio Casini (Modena, 1668)
Ce qu'en dit la presse :
« Le jeune Américain pointe toujours ce menton volontaire, mais on retrouve aussi dans son jeu la même force tranquille et sereine. Son Moderato est superbe d’intensité, avec une grande économie de moyens et une véritable poésie. » (Nicolas Blanmont, La Libre, 31/05/2017)
« Ce candidat est l’un des plus attachants du concours pour sa liberté de ton, son aisance apaisante, sa juvénilité assumée. Sa culture personnelle lui permet de trouve pour chaque œuvre le style adéquat. Sa cohérence dans le répertoire moderne devrait lui permettre d’absorber aisément l’imposé. » (Serge Martin, Le Soir, 29/05/2017)
Né dans une famille de musiciens, Ivan Karizna est diplômé de la classe de Jérôme Pernoo au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. À seulement 19 ans, il décroche le Troisième Prix au Concours Tchaikovsky en 2011. Il a également remporté les premiers prix des concours internationaux Umanitaria à Milan en 2015 et Luis Sigall au Chili en 2016. Il s’est déjà produit en soliste avec plusieurs orchestres renommés tels que le Mariinsky Theatre Symphony Orchestra, les orchestres philharmoniques de Saint-Pétersbourg et de Strasbourg et le Slovenian Radio Symphony Orchestra. Ivan Karizna a aussi pris part à de nombreux festivals, notamment le Yuri Bashmet International Music Festival et le Festival International de Colmar. Depuis 2016, il étudie à la Kronberg Academy avec Frans Helmerson.
Instrument : Gand & Bernardel Frères
Ce qu'en dit la presse :
« Le candidat biélorusse ne déçoit pas les attentes. Ivan, du rêve ! […] Karizna est un modèle de plénitude et de sincérité. Il vit et respire la musique par tous les pores de sa peau. » (Nicolas Blanmont, lalibre.be, 03/06/2017)
« Dès sa prestation du premier tour, nous avons fait de ce Biélorusse de 25 ans notre incontestable coup de cœur […] Techniquement, ce violoncelliste biélorusse, issu d’une famille de musiciens, est un super-doué mais ce n’est qu’une fois assurée cette suprématie que commence le véritable plaisir, dans un mélange de style assumé et d’imagination recréatrice, le tout propulsé par une générosité débordante et un bonheur de jouer, dans tous les sens du terme. » (Serge Martin, Lesoir.be, 04/06/2017)
« Lors du premier tour, le Biélorusse Ivan Karizna, 25 ans, fut parmi les candidats les plus marquants et son approche de la Suite n° 6 de Bach suffit à le faire comprendre : le jeune musicien s’y glisse comme si elle existait de toute éternité. Naturel, simplicité et effacement de sa subjectivité – trait paradoxal a priori – semblent guider sa position d’artiste, ce qui s’inscrit dans le droit fil des intentions de Prokofiev lorsqu’il composa sa sonate op. 119. Avec Takashi Sato au piano, Ivan en donne une lecture à la fois évidente et toute neuve, notamment par la fluidité du discours, la beauté des sonorités, lumineuses plutôt que brillantes, et l’incroyable liberté que lui permettent ses moyens techniques illimités. » (Martine D. Mergeay, La Libre, 18/05/2017)
Aurélien Pascal est diplômé du Conservatoire National supérieur de Musique et de Danse de Paris dans la classe de Philippe Muller et continue de se perfectionner auprès de Frans Helmerson et Gary Hoffman à la Kronberg Academy, et de Gautier Capuçon à la Fondation Louis Vuitton. Il a remporté le Deuxième Prix au Concours Paulo Cello à Helsinki en 2013, puis le Premier Prix et le prix du public au Concours Emanuel Feuermann à Berlin l’année suivante. Aurélien Pascal a participé à de nombreux festivals renommés : le Verbier Festival, les Flâneries de Reims, la Roque d’Anthéron, les Rencontres musicales d’Evian ou encore la Beethovenfest de Bonn. Parmi ses partenaires de musique de chambre, on peut citer Christian Tetzlaff, Augustin Dumay, András Schiff, Eric Lesage et Emmanuel Pahud. Il est lauréat de la fondation Banque Populaire et la Fondation Colas.
Instrument : Charles-Adolphe Gand (1850)
Ce qu'en dit la presse :
« Le Français a parmi ses atouts un instrument de premier plan et une technique souveraine. […] on admire plus encore la rondeur de son timbre dans les passages solistes. Mais il n’y a pas que le son : la technique est souveraine, et les pizzicati, mâtinés de ce qu’il faut de vibrato et de glissando, sont ceux qui évoquent le mieux le koto japonais à ce jour. […] » (Nicolas Blanmont, La Libre, 01/06/2017)
« Dans la pleine force de ses 22 ans, il a jusqu’ici imposé des interprétations engagées, volontiers dramatiques, soutenues par une réelle richesse sonore que lui offre son instrument, un Charles-Adolphe Gand de 1850. […] Dès le début du 1er concerto op. 107 de Chostakovitch, on retrouve l’énergie volontariste qui caractérise ce candidat. […] on reste confondu face à la profondeur du propos d’Aurélien Pascal et la maitrise avec laquelle il la défend. » (Serge Martin, Le Soir, 01/06/2017)
Virginie Petit a étudié le violon aux Con-servatoires de Mons (avec Philippe Descamps), Liège (avec Philippe Koch) et Bruxelles (avec Shirly Laub) ainsi qu’à Rotterdam (Erasmus avec Gordan Nikolic). Membre du European Union Youth Orchestra pendant trois ans, elle joue sous la direction de chefs aussi renommés que Bernard Haitink, Colin Davis, Herbert Blomstedt et Vladimir Ashkenazy. Tuttiste (2006) puis soliste (2011) du Brussels Philharmonic, elle est premier soliste/chef de pupitre des premiers violons de l’OPRL (2017) et membre du comité organisateur des séries Happy Hour ! et Musique à Midi. Elle fait partie du groupe à géométrie variable Fragments et de l’ensemble vocal féminin Kava-Kava. Elle est lauréate du Concours Belfius Classics en violon et en piano.
Réédition de l'intégrale publiée en 1994 à l'occasion du centenaire de la mort de Guillaume Lekeu.
Choc de Classica.
5 Diapasons.
Coffret de la semaine du MAD (Le Soir).
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