La voix humaine
« Anne-Catherine Gillet incarne la femme bafouée avec une profondeur et une intensité impressionnantes. » CLASSIC TOULOUSE
Opéra tragique pour soprano et orchestre en un acte, d’une quarantaine de minutes, La voix humaine de Poulenc fut écrite en 1958 sur un texte de Jean Cocteau. Ce long et bouleversant monologue téléphonique d’une femme abandonnée par son amant est incarné par la soprano belge Anne-Catherine Gillet et accompagné à l’orgue (au départ de la version pour piano de Poulenc) par Yoann Tardivel, dans une sobre mise en espace, conçue pour ce concert. Le prélude de Pelléas et Mélisande de Fauré et les Trois danses pour orgue de Jehan Alain, sous-titrées Joies, Deuils, Luttes, lui offrent une introduction idéale.

Programme
FAURÉ, Pelléas et Mélisande, prélude (tr. Robilliard)
J. ALAIN, Trois danses
POULENC, La voix humaine